Pierre LOTI, "La troisième jeunesse de madame Prune" - Illustations de SYLVAIN SAUVAGE

75,00 €

Pierre LOTI, 1850 - 1923. Illustrations de Sylvain SAUVAGE, Calan LEVY éditeur. 1936.
234 pages. Livre broché tiré sur velin à la forme des papeteries Bernard Dumas par l’imprimerie Georges Lang à Paris. Typographie des ateliers spéciaux Brodard et Taupin.
Hors texte en photopie de Duval. Coloris au pochoir de Beaufumé. Dépot légal n° 7899.
Bon état.
« Ce roman fait suite à « Madame Chrysanthème », et se passe quinze ans plus tard. le narrateur retrouve ces « japoneries », comme il les appelle, ce pays exotique où vivent ces êtres minuscules, rappelant des poupées ». « Ce récit est empreint d'une grande nostalgie de ce pays, accompagné comme toujours de magnifiques descriptions. La fin est très émouvante car Pierre Loti sait, il en est sûr, qu'il ne viendra plus jamais au Japon. »

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Pierre LOTI, 1850 - 1923. Illustrations de Sylvain SAUVAGE, Calan LEVY éditeur. 1936.
234 pages. Livre broché tiré sur velin à la forme des papeteries Bernard Dumas par l’imprimerie Georges Lang à Paris. Typographie des ateliers spéciaux Brodard et Taupin.
Hors texte en photopie de Duval. Coloris au pochoir de Beaufumé. Dépot légal n° 7899.
Bon état.
« Ce roman fait suite à « Madame Chrysanthème », et se passe quinze ans plus tard. le narrateur retrouve ces « japoneries », comme il les appelle, ce pays exotique où vivent ces êtres minuscules, rappelant des poupées ». « Ce récit est empreint d'une grande nostalgie de ce pays, accompagné comme toujours de magnifiques descriptions. La fin est très émouvante car Pierre Loti sait, il en est sûr, qu'il ne viendra plus jamais au Japon. »

Pierre LOTI, 1850 - 1923. Illustrations de Sylvain SAUVAGE, Calan LEVY éditeur. 1936.
234 pages. Livre broché tiré sur velin à la forme des papeteries Bernard Dumas par l’imprimerie Georges Lang à Paris. Typographie des ateliers spéciaux Brodard et Taupin.
Hors texte en photopie de Duval. Coloris au pochoir de Beaufumé. Dépot légal n° 7899.
Bon état.
« Ce roman fait suite à « Madame Chrysanthème », et se passe quinze ans plus tard. le narrateur retrouve ces « japoneries », comme il les appelle, ce pays exotique où vivent ces êtres minuscules, rappelant des poupées ». « Ce récit est empreint d'une grande nostalgie de ce pays, accompagné comme toujours de magnifiques descriptions. La fin est très émouvante car Pierre Loti sait, il en est sûr, qu'il ne viendra plus jamais au Japon. »